lundi 31 août 2015

Bellflower

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Après cinq minutes, début de défilement rapide : end of story (pour peu qu'il y en ait une !). Présenté en première et hors compétition lors du 27e Sundance Film Festival, le premier long métrage d', archétype de l'indigence narrative et de la médiocrité artistique d'un certain cinéma indépendant* (pourtant récompensé notamment à Sitges et Fantasporto, film pour lequel s'est "enflammée" une critique désormais coutumière du mauvais goût)ne justifie absolument pas un visionnage à vitesse normale.

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*à deux balles, c'est à dire au cours actuel environ dix-sept mille dollars.

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