lundi 30 décembre 2013

Nous irons tous au paradis

******
Beaucoup plus décousu (presque sketché) et dans l'ensemble bien moins réussi que le précédent, ce second volet reste surtout célèbre pour l'épisode de la "bonne affaire" immobilière. Après s'être abandonné aux tourments de la passion adultérine, l'ancien fonctionnaire au sein d'un service ministériel Etienne Dorsay éprouve cette fois ceux de l'époux possiblement cocufié. Poussives et quelconques, les intrigues secondaires allongent la durée subjective du métrage. Les personnages, à l'exception de Mouchy Messina/, apparaissent également moins sympathiques. Les apparitions de  (le premier mari de ) et de , au début de sa carrière au cinéma, constituent les seuls véritables éléments de curiosité du film.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire