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99,7% d'action, 0,3% de réflexion, telles sont les proportions des ingrédients de cette première (une seconde ayant été annoncée en mars dernier) sequel. Une suite marquée par un conséquent remaniement à tous les étages. Le duo de scénaristes Rhett Reese-Paul Wernick (Zombieland) remplace le quintette du volet initial. Cela ne se traduit néanmoins en aucune façon par une rupture conventionnelle... ou par une quelconque inflexion humoristique. Exit Stephen Sommers, remplacé par Jon M. Chu* à la direction de cette co-production au budget un peu moins doté**. Enfin seuls cinq acteurs*** de G.I. Joe: The Rise of Cobra reprennent leur rôle au sein d'un casting désormais dominé par le massif Dwayne Johnson. Le contenu narratif est extrêmement pauvre (baston, armes en tous genres et pyrotechnie culminant à un paroxysme grotesque) et mécanique (Hasbro oblige !), les dialogues insignifiants (est-ce une vraie surprise ?), les acteurs dénués du moindre soupçon de finesse, Bruce Willis compris à l'occasion d'une pige sans doute surtout lucrative.
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*déjà successeur d'Anne Fletcher pour la réalisation des deux derniers volets de la trilogie Sexy Dance.
**130M$ contre 175M$.
***Lee Byung-hun (Storm Shadow), Ray Park (Snakes Eyes), Arnold Vosloo (Zartan), Jonathan Pryce (le président des Etats-Unis) et Channing Tatum (Duke)... qui disparaît d'ailleurs assez vite.
*déjà successeur d'Anne Fletcher pour la réalisation des deux derniers volets de la trilogie Sexy Dance.
**130M$ contre 175M$.
***Lee Byung-hun (Storm Shadow), Ray Park (Snakes Eyes), Arnold Vosloo (Zartan), Jonathan Pryce (le président des Etats-Unis) et Channing Tatum (Duke)... qui disparaît d'ailleurs assez vite.
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