******
Un ou plusieurs des ingrédients (le duo d'acteurs, le sujet, la réputation du cinéaste lyonnais... le chocolat ?!) du septième long métrage de Jean-Pierre Améris ont attiré plus d'un million de spectateurs en salles. J'ai de la sympathie pour Améris (C'est la vie, Poids léger), de l'intérêt pour Isabelle Carré et Benoît Poelvoorde (qui partageaient déjà, cinq ans plus tôt, la tête d'affiche d'Entre ses mains d'Anne Fontaine). Les Emotifs anonymes* est, de prime abord, une aimable comédie sentimentale. Mais la relative inconsistance de son scénario co-signé par Philippe Blasband (Irina Palm) et le caractère convenu, mécanique de son traitement me rendent presque indifférent à l'égard de cette illustration un peu pathétique d'une convergence psycho-chocolatière.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire