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En compétition pour la "Palme d'or" 2011, le cinquième long métrage de Bertrand Bonello ne possède presque aucune vertu. Deux heures d'une totale vacuité parfois absurde*, à peine soutenue par le prétendu énigmatique fantasme d'une prostituée défigurée. Et si souvenirs il y a, nous aurions souhaité qu'ils aient été oubliés. Un film qui provoque... une profonde amnésie !
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*tel cet anachronique slow funéraire dansé sur l'"inoubliable" "The Right To Love You" (1966) de Mighty Hannibal.
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