"Pourquoi font-ils ça ?"
Quelque part près de Minneapolis, le 3 mai 1994. Jenna et Tara se rendent par la route à un concours de pom-pom girls. A une station-service, elles acceptent de prendre à bord Oliver et Chad
en panne de voiture. Avant de partir, celui-ci est longuement dévisagé
par un inquiétant inconnu masqué par un tissu au volant d'un véhicule
tout-terrain. Peu après, l'homme rattrape le groupe et lance sur le
pare-brise de la voiture de Jenna, au moment de la dépasser, la
dépouille d'un petit animal sauvage, provoquant sa perte de contrôle et
l'accident. Les quatre jeunes gens sont contraints de poursuivre à pied
avant d'être pris en stop par le conducteur d'un break qui prend
soudain un chemin. Chad réussit à sauter en marche mais est
assommé par le choc. Ses camarades sont bientôt ligotés et emmenés dans
des baraquements isolés par leur rustique chauffeur qui a rejoint
l'homme au 4x4.
Dans la ligné du norvégien Rovdyr
(situé lui en 1974), pitoyable boucherie inspirée du génial The Most Dangerous Game
, le suédois Madness
lorgne lui du côté de l'historique The Texas Chain Saw Massacre
dont il n'est, évidemment comme le passable Wrong Turn
, qu'une pâle resucée. De deux choses l'une : considéré comme véritable survival slasherisant façon Just Before Dawn
de Jeff Lieberman, le film ne vaut pas tripette. Soit il s'agit d'une grosse farce collective, défoulement bien brutal d'étudiants en cinéma(1),
produite en anglais avec quelques copains. Justification, a posteriori,
de l'inconsistance du script, de la vacuité des dialogues, de
l'insignifiance de la réalisation et de la médiocrité des acteurs... qui
n'en sont d'ailleurs visiblement pas(2).
(situé lui en 1974), pitoyable boucherie inspirée du génial The Most Dangerous Game, le suédois Madness lorgne lui du côté de l'historique The Texas Chain Saw Massacre dont il n'est, évidemment comme le passable Wrong Turn, qu'une pâle resucée. De deux choses l'une : considéré comme véritable survival slasherisant façon Just Before Dawn de Jeff Lieberman, le film ne vaut pas tripette. Soit il s'agit d'une grosse farce collective, défoulement bien brutal d'étudiants en cinéma(1),
produite en anglais avec quelques copains. Justification, a posteriori,
de l'inconsistance du script, de la vacuité des dialogues, de
l'insignifiance de la réalisation et de la médiocrité des acteurs... qui
n'en sont d'ailleurs visiblement pas(2).
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1. seul Tommy Wiklund possède un statut de récidiviste.
2. et ont du mal à garder leur sérieux !
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